Française, Français,

Je sais que les 3 personnes qui viennent lire ce blog artisanal meurent d'envie de connaître mes consignes de vote pour cette élection présidentielle.

Vous n'allez pas être déçu car je ne donnerai rien ! (quelle putaclic je fais). Pour une raison très simple (titre mensonger au passage), c'est que je ne le sais pas moi-même. Déjà on ne parle que de ça. L'actualité est trop politique. D'ailleurs, il n'y a pas un chanteur qui peut mourir pour nous changer les idées?

J'ai le sentiment de ne pas avoir de candidat qui me correspond. Ca ne vous fait pas ça à vous ? Aucun n'a vraiment de crédibilité à mes yeux. Il y a toujours un truc qui me... voilà, qui me ...gêne. Celui-ci est trop comme ci, celle-là est trop comme ça. On a le sentiment que les hommes politiques nous baratinent. On dirait des filles sur Instagram, celles qui nous font croire qu'elles ont des vrais seins. Voyez ?

Comme dit ma fille, la politique c'est comme le catch, c'est pour de faux.

La seule fois où un homme politique dit la vérité, c'est quand il dit d'un autre homme politique que c'est un menteur. D'ailleurs, un homme politique ne dit jamais de mensonges: il préfère dire que ce sont des contres vérités. La nuance sémantique est importante. Pour nous, cela ne fait aucune différence, on se fait avoir de la même façon.

Ils mentent souvent. D'ailleurs, quand ils sont pris la main dans le pot de miel, ils disent tous la même chose et utilisent les mêmes éléments de langage:

1-Je n'ai rien à me reprocher

2-J'ai confiance dans la justice de mon pays.

Le 1 avant le 2, sans ça, l'impression d'honnêteté est gâchée.

Cette défiance du peuple envers la classe politique ne s'est pas estompée avec le quinquennat Macron. Si vous regardez Robin des bois à l'envers, c'est la même chose que la politique fiscale d'Emmanuel Macron. On pourrait dire qu'un homme politique, c'est quelqu'un qui édicte des règles qu'il n'a absolument pas l'intention de suivre lui-même.

Pourtant, ils n'arrêtent pas de dire qu'ils bons dans ce qu'ils font. Ca fait un point commun entre les hommes politiques et les rappeurs. Pourtant c'est toujours autant le bazar. Plus de pauvreté, plus de chômage. La politique du gouvernement en matière d'emplois par exemple nous rappelle cruellement nos prestations à l'Eurovision.

L'impression qu'on a, c'est qu'ils ne foutent rien. Qu'ils profitent de la vie. Un député qui ne va pas à l'Assemblée, il fait de la "air politique". Nouveau concept. Le gouvernement dit souvent qu'il est profondément écologiste, favorable à l'énergie éolienne. Effectivement, c'est facile avec des ministres qui brassent de l'air. Pour les hommes politiques, il faudrait instaurer la présomption de connerie pour que les Français soient agréablement surpris.

Parmi les candidats, aucun n'emporte mon adhésion:

-Je ne comprends pas ce que dit Jean Lasalle, je n'ai pas de formation d'orthophoniste,

-J'ai peur de ce que disent Nathalie Artaud, Philippe Poutou (ça commence comme Poutine comme par hasard) et Nicolas Dupont-Aignan (le Trump français du pauvre),

-Je ne comprends pas les propositions d'Anne Hidalgo. Par exemple, elle propose le droit de vote à 16 ans. Elle veut inciter les gens à aller voter. Les jeunes lycéens ont pourtant l'air d'avoir une conscience politique. A moins que ce soit juste pour sécher les cours. Ceci dit, vu le niveau des débats, on peut même ouvrir le droit de vote à partir de 5 ans.

-Jadot veut nous faire peur. Il utilise la sémantique guerrière en ce moment : il est en guerre contre le climat, du coup, Macron est contre le Covid, Quotidien contre TPMP, Afida Turner contre la grammaire et la syntaxe.

-Marine le Pen, toujours placée, jamais élue. C'est la Jean-Claude Dusse de la politique, elle n'arrive jamais à conclure.

-Zemmour a pris un oeuf.

-Précresse a été aspergée de craie.

-A la place de de Jean-Luc Melenchon, je me méfierais. Ca sent la bite au cirage.

Ce que veulent les électeurs, ce sont des politiques non corrompus. Si t'es fier d'être un élu, tape dans la caisse ! Si t'es fier d'être élu, tape dans la caisse !

Les électeurs sont favorables à une politique propre parce qu'ils la savent honnête (vous l'avez?).

On aimerait des élus complètement tournés vers l'intérêt général. Sans arrière-pensées mercantiles ou sectorielles. Parfois quand même les hommes politiques dépassent les clivages partisans sur les grands sujets. Comme lorsqu'il s'agit de discuter de la hausse des indemnités des députés par exemple.

On sent monter le ras-le bol des gens tout de même. Il y a eu les gilets jaunes notamment. Et d'ailleurs, ce n'est pas fini. Il y a toujours des gilets jaunes qui veulent se lancer en politique. Francis Lalanne, par exemple, veut le faire. Il peut, ça ne nous dérange pas. Tant qu'il ne fait pas de nouvel album...

On verra bien ce qu'il se passera. Mais comme disait Gérardo da Cousinho, "de droite ou de gauche, on se fera toujours enculer".

Vous voulez mon avis sur la guerre ? OOOOOUUUUUIII ! (calmez votre enthousiasme).

Vladimir, Vlad, Vladou, Vladimou. Qu'est ce que tu nous fais? Tu fais rien qu'à emmerder les Ukrainiens. Ils passent du masque chirurgical au masque à gaz par ta faute.

Au moins, les Ukrainiens sont les seuls au monde qui risquent de mourir d'autre chose que du Covid. Une mine ou une bombe sur la gueule.

Nous voilà revenu au temps de la guerre froide, à un affrontement entre deux blocs. Quand j'étais petit, je croyais que la guerre froide, c'était quand on ne parvenait pas à se décider entre deux desserts au restaurant.

Que s'est-il passé dans la tête de Vladimir ? J'ai une théorie. J’ai une théorie qui vaut ce qu'elle vaut. Je pense savoir ce qui a déclenché la guerre : je crois que la femme de Poutine a du lui a coller ses pieds froids dans le lit. Le truc qui rend absolument fou (avouez que ça se tient).

Enfin, tout le monde ne pense pas que Poutine est fou. On a des personnes en France qui semblent considérer qu'il a raison. Ceux qui le défendent s’opposait hier à la dictature sanitaire en France, ce qui semble particulièrement cocasse (pour ceux qui comprennent l’essence même de ce mot).

Elles se rangent du côté de Poutine après avoir été du côté du virus. Vous n'avez pas honte ?

Je ne sais pas si les militants gilets jaunes type Oliv Oliv (facile à reconnaître car il ne prononce jamais de "l" entre le "b" et le "e" / exemple: capab au lieu de capable) sont doués en géopolitique mais ils le sont assurément en gymnastique ou en contorsion. On devrait envoyer tous ces gilets jaunes faire les bérêts verts pour voir s'ils ont toujours de la gueule. Outre les politiques, ce sont notamment eux qui diffusent ce genre de messages. Il faudrait que tout ce petit monde passe de citoyen engagé à citoyen dégagé.

D'autres, heureusement, s'opposent à la guerre. Il ne s'agit nullement du domaine réservé de miss France ou du Pape. Par exemple, les femens. Elles ont manifesté à poil contre la guerre en Ukraine. Mais laissez-les faire ! Je ne m’opposerais jamais à des manifestations de femmes seins nus. Liberté ! liberté ! liberté ! C'est autre chose que vos conneries de convoi de camping-cars à travers la France. Battez-vous pour de vrais trucs.

Tout le monde utilise la sémantique guerrière en ce moment : Yannick Jadot est en guerre pour défendre le climat, Macron contre le Covid, Quotidien contre TPMP, Afida Turner contre la grammaire et la syntaxe.

La communauté internationale a réagi en sanctionnant la Russie. Plus de Mac Do (pas sûr que ce soit une sanction), plus de starbucks, plus de magasins de fringue européen, plus de çi, plus de ça. La FIFA a même exclu la Russie de la prochaine Coupe du monde au Qatar. Le Qatar, lui, n'est pas exclu. Il tue des gens aussi mais chez lui, donc ça va. En football, c'est mort pour la Russie, mais pour la guerre, elle reste tête de Syrie.

Des gens dans mon entourage me disent que cela ne sert à rien de sanctionner les Russes qui n'ont rien demandé et ils pensent certainement à ceux qui sont hostiles à la guerre (s'ils comprennent vraiment les enjeux parce que là-bas, ils n'ont qu'une chaîne et c'est le Hanouna local qui leur explique quoi penser). Je réponds à ça que les sanctions subies par les Russes seront toujours plus faciles à supporter que les difficultés que doivent actuellement endurer les Ukrainiens (déracinement, destruction de leurs biens, perte de proches... pas jojo). Les enfants ukrainiens meurent de faim et, malheureusement, ils n'ont droit qu'à des tirs nourris. A la place des Ukrainiens, j'irais me réfugier à Hiroshima. Quelle est la probabilité pour cette ville soit frappée une seconde fois ?

Nous, citoyens inquiets, on ne peut pas faire grand-chose. Si, on peut les accueillir ou envoyer du pognon, comme si c'était un Ukrainethon. Moi, j'ai l'honnêteté de dire que je ne me sens pas capabe (hihi) d'aller là-bas. En plus, il caille grave. Si les Russes nous déclarent la guerre et arrivent à nos portes, ce sera différent, et on leur enverra nos candidats de téléréalité pour qu'ils nous sous-estiment.

D'ici, on a déjà le sentiment que ce sera plus facile de faire la guerre à la Russie que de ramener le calme en Corse. Si on va faire la guerre en Ukraine contre les Russes, Macron aura aussi là-bas  un problème de retraite.

La France a donné des armes à l'Ukraine (Corbière le rapporteur l'a dit) sauf notre porte-avions ne peut pas y aller, car il est chez Point P pour la vidange. C'est ce qu'on a dit au président ukrainien en tout cas qui a gobé.

C'est l'affaire de tous mais aussi et surtout celle des Russes. Ils doivent courageusement faire entendre leur voix, autant que ce soit possible. Pour l'instant, en attendant un changement, c'est Poutine qui commande. Et comme disait Lebrac dans la guerre des boutons (désolé pour la réf), "le chef, c'est celui qui a le plus gros zizi".

Je ne peux m'empêcher de vous narrer une histoire qui m'est arrivée il y a 3-4 ans à l'occasion d'un déplacement professionnel (n'insistez pas, je ne vous dirais pas où et pourquoi et comment et dans quel sens). Une histoire emplie -tout plein, tout plein- de bon sens et de justice entre les hommes.

Certes, j'adore voyager. Même quand c'est pour le boulot. Mais prendre l'avion n'est pas une expérience sympathique. Elle se révèle même pénible et stressante. Un temps fou à l'enregistrement, une course à l'embarquement et dans l'avion pour se précipiter sur son siège sur lequel le Français moyen ne reste jamais très longtemps assis, trop occupé à regarder si sa valise est bien dans le coffre au-dessus de sa tête, cherché les médocs de sa femme ou s'il a bien pensé au petit coussin pour la tête.

A l'aller, en économique (faut pas déconner non plus), je me suis retrouvé, serré entre deux personnes avec mes grandes pattes. D'un côté, à ma gauche, un type énorme qui sentait le cimetière et de l'autre une femme très énervée parce que le système média devant elle ne fonctionnait pas, l'empêchant de voir un ou deux films pendant les 6 heures de voyage.

Arrivé sur le tarmac de ce pays étranger, je me suis alors promis de prendre des dispositions pour éviter ça au retour en prenant soin de m'enregistrer sur un siège avec suffisamment de place pour mes jambes. Ce que j'ai fait. Au taquet 30 heures avant l'heure programmée, je me suis jeté avec beaucoup d'empressement sur le schéma de l'avion pour sélectionner la meilleure place pour moi, augmentant mes chances de passer un bon vol. J'y suis facilement parvenu.

Le jour J, à l'heure H, dans l'avion A, j'ai pris -avec une joie non dissimulée- possesion de mon siège en ayant immédiatement le réflexe d'allonger mes jambes. Aaaahhh j'étais bien et jusque là, le plan se déroulait comme prévu, ce qui me plaîsait bien aussi. Très vite, un stewart vient me déranger, me demandant si cela me gêne de laisser ma place à un couple et son enfant en bas âge, ce qui faciliterait leur déplacement:

-Oui ! Oui ! ça me dérange ! Je suis vraiment désolé mais j'ai vraiment besoin d'allonger mes jambes.

J'ai honte. Je ne suis pas fondamentalement égoiste mais force est de constater que cette histoire me tenait à coeur et avait clairement pris des proportions trop importantes dont je mesurais bien la portée excessive sans pour autant m'en soucier. Coupable que tu es, petit gredin.

-Pas de problème, monsieur, je comprends, nous allons trouver une autre solution.

Complètement à gauche d'une travée de 5 places, je ne tardais pas à voir arriver une famille, composé d'un père, d'une mère et de deux enfants dont l'un m'apparaît très rapidement lourdement handicapé. Et où s'assois t-il ? à côté de moi évidemment !

Putain, la chance vient de tourner. Ce n'était clairement pas le moment de jouer au Loto, je connaissais déjà le résultat.

Son handicap était clairement mental. Il hurlait et avait tendance à frapper sans le vouloir étant vraisemblablement pris de spasme musculaire. Son père s'excusait continuellement auprès de moi de son attitude, mais il n'y pouvait évidemment rien.

Le vol a été un véritable calvaire. Il m'a hurlé dans les oreilles non stop pendant 6 heures. Le pompom de la pomponnette : le vol était un vol de nuit, censé me permettre d'arriver un peu frais et plutôt dispo à l'arrivée. Il me frappait le bras et criait très fort, tellement heureux d'avoir quelqu'un qu'il ne connaissait pas à côté de lui.

Au sol à Paris, épuisé, les yeux dans les chaussettes, je sortais avec soulagement de l'avion et me dirigeais vers les bagages. Sur le trajet fléché, un collègue ayant participé au même périple que moi, me rattrape et me dit :

-Alors ce vol ? ça a été ?

-Euh, pas vraiment. Horrible même. Un jeune handicapé m'a littéralement hurlé dans les oreilles pendant tout le vol.

-Oh n'exagère pas ! tu as pu dormir quand même ?

-Pas une minute !

Sourire en coin de sa part traduisant un soupçon de compassion et surtout de la moquerie. On attend les bagages.

Arrive alors ma famille d'avion de nuit, bien obligée d'emprunter le même chemin que le reste du grupetto. Et là, pendant qu'on patiente, l'enfant handicapé hurle à côté de nous sans s'arrêter pendant quelques minutes.

On récupère nos bagages et mon collègue se penche alors vers moi et me dit:

-Je ne sais pas comment tu as fait. Ca a duré 3 minutes et j'ai trouvé ça insupportable. J'étais au bout de ma vie.

***

Il n'y a aucune moralité à cette histoire. Je n'en veux à personne si ce n'est à moi-même d'avoir été par moments probablement aveuglé par mon bien-être au détriment de celui des autres. Serait-ce plutôt une leçon que je retiens: Je peux vous dire que si quelqu'un vient de me demander ma place dans un avion, je lui laisserai bien volontiers!

Politique et sexe ont toujours été intimement mêlés. Les hommes politiques de premier plan, qui sont devenus présidents (ou qui aspiraient à le devenir – suivez mon regard vers DSK), ont souvent été de grands séducteurs. Des maîtresses à gogo, des mariages et remariages, des affaires de fesses molles, bref, des trucs sales.

Alors pourquoi ne pourrait-ce pas être des acteurs pornos ? Pourquoi nos représentants ne pourraient-ils pas être des professionnels du zizi et de la chagatte ? Difficile de trouver des candidats qui ne me donnent pas envie de brûler ma carte d'électeur. Ce besoin de faire de la politique, de se sentir utile à son pays, c'est noble. Quelque soit le messager, non ? Il faut savoir séparer l'homme politique du pervers du cul.

Aujourd'hui, on a pléthore de candidats pour accéder au poste convoité de président de la République. C'est la version française super cheap de Game of Thrones. Beaucoup d'entre eux se foutent de notre gueule, d'autres promettent des trucs impossibles. Au moins, les pornos stars ne peuvent pas nous promettre autre chose que du plaisir. Enfin, ce qu'ils connaissent quoi.

Exemple symptomatique, en Italie, Rocco Siffredi a annoncé sa candidature. Il espère redynamiser les parties. On se dit que quitte à se faire baiser, autant que ce soit par un professionnel. Certes, nous ignorons sa position (je vous en prie) sur l'avortement, l'Europe, l'immigration, l'écologie. Ou alors on s'en fout parce qu'il a une grosse bite et qu'il a l'habitude d'y aller à fond. S'il est élu peut-être qu'il imposera une nouvelle éducation sexuelle à l'école avec davantage de travaux pratiques. Et hop, le vote des jeunes dans la pocket !

Ça aurait aussi et certainement l'avantage de féminiser le gouvernement italien. Il est clair que c'est plus son truc (de ce que j'ai vu). Il a déjà une longueur d'avance selon les sondeurs et annoncé que s'il n'est pas élu, il se reconvertira dans l'astrologie en se faisant appeler Nostradanus.

Vous imaginez, bande de nazes, que ce serait comme si Brigitte Lahaie ou Clara Morgane se présentaient à l'élection en France ? Le débat chez Hanouna serait dingue (curieux de connaître l'avis de Gilles Verdez sur le sujet - je déconne, tout le monde s'en branle). Je rappelle qu'Afida Turner n'a pas exclu de se présenter donc... (certes, les esprits forts me diront qu'elle n'a jamais fait de porno. Oui c'est vrai, mais elle a quand même montré son cul et le reste plus souvent que...enfin tout le temps quoi). C'est écrit petit pour éviter de lui donner des idées si elle lit ses lignes. remarquez, elle ne sait pas lire. C'est bon, je peux réécrire en plus gros.

Brigitte Lahaie a perdu en crédibilité depuis qu'elle a déclaré "on peut jouir lors d’un viol". Pas très mitou ce genre de déclarations j'ai l'impression. En tout cas, elle ne jouit plus de toutes ses facultés mentales, c'est une évidence. Il paraît, qu'à près de 65 ans, Brigitte a décidé de reprendre sa carrière d’actrice de films pour grands garçons, ce qui a du grave exciter Emmanuel Macron qui kiffe les vieilles qui s’appelent Brigitte (voyez ce que je veux dire).

Clara Morgane, c'est plus proche de nous. C'est le X moins root, plus pro, moins rasoir (enfin, façon de parler en fait).

Elle peut attendrir l'électorat, elle qui, comme le petit Rayan (RIP), a déjà eu des centaines d'hommes pour s'occuper de son trou.
Sa popularité lui assurerait le vote masculin, quelles que soient ses convictions politiques. Logique implacable.

Je vous laisse. Cet article m'a excité. Je vais me faire une soirée cinema: j'hésite entre "ouvre la fenêtre que je te mette" et "change de trou ça fume".